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27 décembre 2014 6 27 /12 /décembre /2014 11:42

13 écrivains, dont Marc Levy, Bernard Werber, Gilles Legardinier et d'autres, ont publié des nouvelles en faveur des resto du coeur, dont le theme central est le repas.

Je me suis amusé à écrire une petite nouvelle sur le même thème, mais dans mon univers.

 

13 à table

 

 

 

Il n'est plus besoin de rappeler ce qui nous amena à chercher d'autres planètes habitables. Les matières premières en baisse au regard de la population croissante sur terre, et une volonté toujours plus forte, pour nos élites (financièrement supérieure. Terme qui ne s'applique qu' à cela d'ailleurs) de vouloir garder une certaine distance en eux et le reste de l'humanité. Bien évidemment l'argent n'ayant ni odeur ni honneur, une planète aux mille merveilles fut découverte.  Luxuriantement verte, elle était le symbole même du fossé qui les séparent, eux, les riches, de nous, l'humanité. La premières choses qu'ils firent fut de déboiser l'équivalent de deux fois l'Amazonie pour construire leurs villas, (d'où le nom d'Amazonia qui lui fût donné par la suite) au détriment des animaux, plantes et autochtones primitifs qui pendant des milliers d'années avait vécu en paix et en harmonie avec leur environnement.

 Je vois d'ici là ,les bon penseurs qui fustigent cette part de nous même, cette orgueil dévastateur de prédateur insatiable. Et à ceux là je voudrais dire que depuis le commencement de la vie, sur Terre comme sur toutes les planètes qui depuis lors ont été découverte, la loi du plus fort a toujours prévalue.

 

Et l'intelligence me répondez vous. Ce qui nous distingue du vulgaire primate de base. Oui bien sûr. Cette intelligence qui nous fît passer de la bête à l'être sublimement (bête, certain dirait) développé. Celle là même qui amena à la vaccination, au nucléaire, à la conquête spatiale, aux guerre, aux religions, à la musique, aux extrapolation métaphorique et j'en passe. C'est cette intelligence qui nous protégea des dangers et qui continue de le faire. J'en veux pour preuve de cette terrible histoire qui se déroula à l'époque de la première migration sur cette merveilleuse planète d'Amazonia.

 

Trois grandes barrières entouraient l'équivalent de la France en superficie. A l'intérieur, un astroport, une multitude de boutiques tenues par des robots (s'ils étaient venues ici c'était pour s'éloigner de la fange terrienne, donc plus de robots et moins de pauvre), et de vaste propriétés avec de somptueuses villas rayonnant de mille feux par leur dorures, leur marbre, leur piscine extravagante et leur lumières faisant pâlir les étoiles de la nuit. Les seules miséreux à être toléré dans l'environnement de cette élite, était les domestiques de maison et les gardiens du domaine. Ces gardiens avaient notamment pour charge, de vérifier l'état des barrières et de repousser toute menace. L'un de ces gardiens, au physique attrayant et musculeux (il n'aurait pu en être autrement), était donc de service dans l'histoire que je vous raconte. La nuit venait de tomber et il venait vérifier la zone H de la première barrière (celle, la plus près de la forêt sauvage et hostile) car une alerte lui en était parvenue. Vous trouverez peut être cela curieux, mais les autochtones avaient difficilement accepté notre présence. Allez savoir pourquoi. De fait, ils cherchaient fréquemment à saccager nos installations et, accessoirement, à nous tuer. C'est pourquoi les gardiens avait une place de faveur, parmi les miséreux, dans l'esprit de nos élites. Donc, notre gardien, du nom de pierrick, mais cela n'a guère d'importance, arrêta son véhicule à l'entrée de la zone H et, s'équipant de son armure bionique et de son droïde de maintenance, s'avança vers le lieu de l'alerte.

 

Un trou béant éventrait la première barrière ( A cette période, les murs à onde plasmique n'avaient pas encore pût être installé) et de large empreintes de griffes, labouraient le sol, là où la bête avait pris appui pour s'attaquer à la barrière. Les autochtones avaient depuis longtemps, su apprivoiser certaines bêtes sauvages dont le Pachisore, qui était un subtil mélange entre l'éléphant et le tigre à dent de sabre. Pierrick avança prudemment, par le trou béant, vers la lisière de la forêt dense et inquiétante. Sa lampe torche balayait l'obscurité. Un silence anormal régnait là. Soudain, la lumière de sa lampe accrocha un reflet qui le scrutait depuis le début. Le Pachisore surmonté de deux autochtones armés d'un arc et d'une lance, bondirent de leur cachette et foncèrent sur Pierrick qui s'enveloppa d'un bouclier protecteur juste à temps. le Pachisore le propulsa d'un coup de griffe, par le trou béant, vers la seconde barrière sur laquelle il s'écrasa.

Son bouclier avait résisté au choc, mais les crépitements qui le parcourait montrait qu'il ne supporterait pas un second assaut de ce type. Se redressant prestement, Pierrick laissa son droïde se faire démantibuler et se précipita vers le sas qui menait à la seconde barrière.  Ce que je vous raconte là résulte des observations faites par la suite, des vidéos de surveillance et des enregistrements audio. Et en parlant d'audio, Pierrick tout en courant, pour sauver sa peau tenta de joindre le pc de sécurité : " Pierrick à pc. On est ...." Mais il ne put en dire plus, car le Pachisore lui sauta dessus et l'écrasa de tout son poids. Son bouclier, qui le protégeait encore, crépitait affreusement et il savait qu'il allait lâcher d'ici peu.

Ce qu'il y a de bien avec les gardiens, c'est leur esprit d'abnégation. Ils sont dévoués corps et âmes à leurs tâches, au détriment même de leur vie. Le bien être de l'élite, prévaut sur tout, bien évidemment.

Pierrick activa le rayon traceur, intégré  au bras de son armure, et le dirigea sur la bête et les deux autochtones qui s'acharnaient sur son bouclier, puis il ordonna à son véhicule de tirer ses deux missiles plasmique sur la cible.

L'explosion eu pour conséquence de transformer les assaillants en de la bouillie carbonisée, mais aussi de créé une brèche dans la deuxième et troisième barrière. Pierrick quant à lui, fut projeté bien au delà de la troisième barrière.

Je dois avouer que ces autochtones ont fait preuve d'une certaine forme d'intelligence. Entendons nous bien. Cette forme d'intelligence n'a rien à voir avec celle qui nous détermine et qui nous sublime. Mais je doit avouer que sacrifier ces deux attaquants et leur monture, pour prendre à revers ensuite, était bien joué. La brèche ainsi formé fut rapidement investi par ces primates, mais fort heureusement de nombreux gardiens avaient accouru et les primitifs furent tués et la brèche réparée. Ce qui nous intéresse est ce qui arriva à notre pauvre gardien, Pierrick.

Son bouclier avait fait son office et, bien que contusionné et groggy, il était en vie. Le danger pour autant n'avait pas totalement disparu. Un autochtone avait réussit à s'infiltrer avant que les gardiens n'arrivent et, comme de bien entendu, il se dirigeait droit sur notre Pierrick. Celui ci n'avait plus d'armure, plus d'arme et plus réellement le sens des priorités. De fait, au lieu de faire face au danger et d'affronter l'insignifiant primitif qui le chargeait, il préféra chercher refuge en direction de la villa la plus proche. Etait-ce les deux mètres d'envergure de cet autochtone ou bien les lames tranchantes qu'ils tenait fermement dans ses mains qu'y firent agir Pierrick de la sorte, que sais-je. Quoi qu'il en soit, le gardien arriva en titubant au portail de la villa et fit résonner le carillon.

Je faisais partie des convives que la duchesse avait conviée à dîner ce soir là.

Le majordome revint dans la salle de réception après s'être informé de la pénible requête du visiteur, qui attendait toujours au portail et murmura à la duchesse ces quelques mots que j'appris plus tard : " Un gardien en danger demande assistance et refuge".

La duchesse nous pria de l'excuser et suivis son majordome jusqu'a l'interphone. Très dignement elle appuya sur le bouton et dit à peu prêt ceci :" je suis désolé vaillant gardien, mais je ne puis vous offrir mon assistance" et elle s'en retourna à la salle de réception, laissant le pauvre Pierrick, abasourdie, se faire décapiter par l'autochtone, qui lui même se fera tuer par la suite.

La duchesse à fait preuve, à ce moment là, d'une profonde intelligence. Cette intelligence qui, comme je vous le disait un peu plus tôt, nous met à l'abri des danger.

Si la duchesse avait cédée à la pitié, qui sans conteste habite chacun d'entre nous, et fait entrer ce gardien. Il lui aurait fallu le panser mais aussi lui offrir une place à notre table, geste, j'en conçoit, quelque peu déstabilisant au vue de l'étiquette, mais auquel il aurait fallu se plier; la bienséance et l'honneur de la duchesse le commandait ainsi.

 

Pourquoi avoir refusé? Mais, nous aurions été treize à table!

 

 

 

 

J.L.H

 

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 09:33

Un nouveau texte issu de ma collaboration avec le photographe saint-E: link , lors de l'atelier photo-écriture de cette année 2014

 

divine.jpg

 

 

 

Divine

 

 

J’ai parcouru bien des mondes et affronté bien des dangers pour la retrouver.

C’est finalement au cœur des ténèbres qu’elle avait été enlevée.

Je descends de longs escaliers étroits, qui me mènent au plus profond de la terre.

Là, une porte noire, couverte de runes séquestrantes,  se dresse en un ultime obstacle. Mais le vrai défi se trouve derrière.

Lorsque la magie des runes cède, la porte s’ouvre doucement et je la vois.

Elle est là, à genou, prostrée et soumise au milieu d’un pentagramme que je ne peux franchir.

Une étoffe imprégnée de magie noire emprisonne sa tête, son esprit et barricade son visage.

 

La voir comme cela me fait mal au point d’en pleurer. Je m’essuie d’un revers de manche et tends ma main vers elle. Il va falloir que je la convainque de se libérer, elle seule peut le faire.

 

- Madame, dis-je avec révérence et émotion, vous avez été enlevée dès votre plus jeune âge par des êtres à l’âme noire. Ils vous ont fait grandir au milieu des ténèbres pour masquer la lumière qui émane de vous, car ils vous craignent. Mais je viens à vous pour vous sauver, pour vous arracher à cette gangue poisseuse et malveillante. Je vous en prie levez vous.

 

J’avais espéré que cela suffise à réveiller sa conscience, mais je vois bien qu’il faut que je me livre corps et âme.

 

- Ce qu’ils vous ont appris à être n’est pas la vérité. Dans les premiers âges, les hommes avaient compris votre importance et vous avaient élevées au Panthéon des Dieux, ce que vous êtes en réalité. Vous êtes les porteuses de vie. En chacune de vous réside une part de divinité et l’homme n’en est que le protecteur. L’homme doit servir et non asservir. L’homme doit vous sublimer et non vous enfermer. Car ceci est notre destin. Protéger l’étincelle divine qui brille en chacune de vous. Je vous en conjure Madame, libérez-vous, nous avons besoin de vous.

 

- Pourquoi, me demande-t-elle dans un souffle de voix.

 

- Parce que…Parce que, je vous aime et vous vénère depuis ma naissance. Parce que sans vous je ne suis rien, dis-je en tombant à genou devant elle.

 

Alors doucement, sa main monte, et de son propre chef elle retire la prison mystique qui recouvre sa tête.

 

Et la lumière fut.

 

 

 

 

 

 

J.L.H

 

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 20:14

L'année dernière, dans le cadre d'un partenariat entre l'atelier écriture de st-esteve et le photographe de renom Jean-Gérard Bernabeu, j'ai eu le plaisir de laisser s'egayer mon imagination sur certaines de ses photos.

site de jean gérard bernabeu : link

 

 

  http://www.jeangerardbernabeu.fr/wp-content/uploads/2013/12/019-med-ByJGB-0220.jpg

 

 

 

EVOLUTION

 

7 mille ans. C’est le temps qui sépare la première forme de vie découverte par le télescope spatial HUBBLE et le moyen que nous avons trouvé pour l’atteindre.

 

6 années lumière. C’est exactement le temps qu’il nous a fallut pour atteindre l’orbite de cette planète, confortablement endormie dans une hibernation cryogénique.

 

5 mois. C’est le peu de temps que nous avions après tout cela pour trouver la vie que nos capteurs continuaient de percevoir.

 

Après 4 heures de descente dans le module monoplace je touche enfin la surface. Des frissons d’excitation me parcourent à l’approche du moment où mes pieds vont fouler pour la première fois cette planète.

 

Je n’ose m’éloigner à plus de 3 minutes du module pour un premier tour d’horizon.

Loin à perte de vue s’étend un vaste désert caillouteux. Où peut donc bien se cacher la vie ici ?

Soudain un tremblement ébranle le sol et mes senseurs s’affolent.

Les pierres roulent les unes vers les autres. Comme attirées entre elles par une force magnétique.

 

En 2 minutes, un être de pierre se matérialise devant moi.

Perdu entre la peur et la fascination, je reste tétanisé.

L’être tourne vers moi son visage de pierre et me fixe de ses orbites noires inexpressives.

L’instant d’après il se jette sur moi brisant au passage ma visière protectrice.

 

1 seconde suffit à mon oxygène pour me fuir.

Ses lourds doigts de pierres m’enserre et brise mon scaphandre ainsi que mes os.

C’est alors qu’une vague venue de nulle part s’abat sur l’être de pierre qui me laisse choir, tel un pantin désarticulé, aux portes de la mort.

 

Le vacarme du combat berce mes derniers instants. Du sang coule dans ma gorge. Mes yeux se ferment.

Je meurs.

 

Je devrais être mort, allongé tel que je suis dans cette boite de conserve autrefois scaphandre et maintenant linceul de métal.

Mais il n’en est rien !

Je me redresse et observe la chose qui vient de me sauver. On dirait de l’eau figée dans le temps, au milieu de laquelle git la tête de l’être de pierre.

Un léger clapotis me fait tourner la tête et des gouttelettes m’éclaboussent le visage. Je les sens alors rouler vers ma bouche et pénétrer mon organisme.

Ce n’est donc pas mon sang que j’avais sentis couler dans ma gorge, mais cette…entité.

Je réalise que je ne suis plus l’organisme biologique que j’étais quelques secondes plutôt.

Cette entité a fait de nous quelque chose de différent.

 

Je comprends que je suis à l’instant Zéro d’une nouvelle évolution.

 

J.L. Houry

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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 16:38

 

Une histoire bien trop courte

 

Il y a un an, une amie nous a quitté à cause d'un cancer.

Le lendemain de son décès, loin d'elle, de sa famille et de nos amis, je lui ai écrit ces quelques mots.

 

alex 1

 

Alexandra

 

Je t'écris ces quelques mots depuis mon salon.

Tu sais à quel point j'aurais voulus être présent,

Mais la distance qui nous sépare m'empêche d'être près de toi.

Te rappelles-tu ces soirées joyeuses où nous finissions tous hilares.

Et ton rire si communicatif.

Ah! Ce rire et cette joie de vivre...

La dernière fois que nous nous sommes vus,

tu étais dans cette pièce exigue. Qu'il y faisait sombre!

Mais même dans cette pénombre, émanait de toi cette aura de douceur.

Même sans tes cheveux, tu étais belle à nos yeux.

Aujourd'hui la maladie  a eu raison de toi.

Mais je voulais t'offrir un dernier cadeau.

Une part d'immortalité.

Graver ton nom dans l'éternité.

 

Je t'écris ces quelques mots, pour qu'à jamais ton souvenir persiste,

sur le papier, comme dans nos coeurs en supplices.

 

Au revoir Alexandra.

 

alex 2

 

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 21:50

J'ai toujours aimé les histoires au coin du feu, lors des veillées à la belle étoile. Ces histoires qui vous laisse, un petit je ne sais quoi, hanter vos rêves. Ici je vais vous surprendre, vous faire rêver ou bien vous faire réfléchir avec des histoire courtes qui ne dépassent pas une page.

 

Pour commencer je vous laisse découvrir :

 

Lycanthrope

 

Loue se réveilla en plein milieu de la nuit. Etait-ce cette étrange lueur qui filtrait de sous sa porte, qui l’avait tiré de son sommeil ?

Elle repoussa le drap et posa ses deux pieds délicats sur le plancher en bois de sa chambre. Précautionneusement, elle s’avança jusqu'à la porte et y colla son oreille. Rien. Pas un bruit. Elle ouvrit alors doucement la porte, et vit que la lumière n’était autre que celle de la lune, qui traversait la lucarne surplombant les escaliers qu’elle éclairait de sa lueur blafarde.

Tout en descendant pas à pas les vieilles marches en bois, Loue gardait les yeux rivés sur la lucarne, qui laissait apparaître peu à peu une lune ronde et pleine. Le spectacle était si saisissant qu’elle s’arrêta en plein milieu des escaliers. Son cœur se mit à palpiter de plus en plus fort. Elle avait soudain très chaud. Si chaud qu’elle dû se défaire de sa fine nuisette, offrant ainsi son corps nue à la caresse lunaire qui l’entoura d’un halo scintillant. Puis soudain une explosion d’énergie emplit tout son être, l’obligeant à se retenir à la rambarde branlante. Son corps entier se recouvrit de poil, ses doigts se muèrent en des pattes longues et griffues, son visage s’allongea formant une gueule hérissé de croc pointu.

 

Loue voyait son corps se métamorphoser, mais au lieu d’être terrorisée c’est une tout autre sensation qui l’envahie. Elle se sentait bien. Vivante et  forte. Son nez, enfin, sa truffe humait des senteurs inconnues. Ses oreilles qui se dressaient en pointe sur sa tête, captaient tout ce qui se passait dans le village. Elle voulu hurler sa joie à la lune, mais se retint à temps pour ne pas alerter les gardes.

 

En un bond elle se retrouva en bas de l’escalier, face à la porte d’entrée. Sa patte avant-droite, bien que griffue et poilue, tourna avec agilité la poignée. Grâce à ses nouveaux sens en éveils elle louvoya dans les ruelles et sortie du village sans être vue. Enfin elle pouvait se mettre à la recherche d’une proie. C’est alors qu’elle se réveilla. Elle regarda ses mains. Elles étaient fines et bien soigné, elle poussa un soupir de soulagement qui se transforma en hoquet quand en soulevant le drap elle se vit nue. Aussitôt elle sauta au bas de son lit, couru vers la porte de sa chambre et l’ouvrit à la volé. Le souffle court elle fixait sa nuisette qui s’étalait dans l’escalier.

 

Méfiez-vous ! En chacun de nous sommeil un lycanthrope.

 

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